La Naked Palette d’Urban Decay (inutile de la présenter) est sortie début de l’année 2011. Il s’agit d’une palette de neutres, comportant au total 12 fards. Deux fards sont mats et les dix restants sont irisés.

Bref, vous me connaissez, je suis une fanatique M.A.C, et c’est ce que je resterais toujours. Mais çela neveut pas dire que je ne suis pas ouverte à un concept que je trouve interessant, telle la Naked, qui me parait une belle alternative de voyage. En effet, je me déplace assez souvent et je suis en plus amenée à maquiller amies et collègues et j’ai toujours peur de transporter mon make-up M.A.C par peur de casser quelquechose.

La Naked semble donc une très bonne solution: jolie, mignonne, compacte et versatille…

J’ai donc gracieusement profité d’une réduction de 25% chez nos amis Sephora, et la Naked était mienne. À noter qu’il faudra surement 1 an de plus pour que je me prenne la Naked 2. Heureusement que je suis plus réactive à la sortie des nouvelles collections M.A.C! Bref, voici donc un petit récapitulatif de ce que je pense de la Naked après quelques semaines d’utilisation.

Ce qu’on aime…

• Le choix des couleurs bien réussi: on y retrouve des couleurs peau, bruns, bronzes, bruns et noirs/argentés.
• Au niveau de la texture, j’ai été surprise par la douceur des fards, mais aussi par leur intensité de couleur, qui permet un rendu ultra-lumineux
• Le blending des fards est ultra facile, beaucoup plus facile qu’avec certaines couleurs M.A.C. Pas besoin de pinceaux ultra sophistiqués pour achever un smokey soigné et bien estompé.
• Le pinceau fourni applique bien la matière et peut être utilisé pour d’autres produits (anticernes, notamment)

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Ce qu’on regrette…

• Les couleurs sont effectivement assez ressemblantes aux couleurs M.A.C que je possède déjà, mais en même temps, j’ai recherché cet effet doublon.
• La tenue des fards est vraiment médiocre: que l’on utilise la Primer Potion, un Paint Pot, du Fix+, les fards s’estompent. Et oui… Ils ne filent pas dans les plis, mais s’estompent. Cela veut dire qu’un maquillage de précision devient vite un charbonneux, et un charbonneux devient vite un maquillage nude car les fards s’estompent et s’éclaircissent au courant de la journée/soirée.
• La texture trop répétitive des fards: la Naked manque gravement de couleurs mattes. Il y en a deux, certes, mais cela n’est pas suffisant, et les make-ups finissent par tous se ressembler car ils finissent tous par être irisés…

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Cependant, ayant connu les fards M.A.C avant, et n’ayant jamais eu de problèmes de chutes ou de mauvaise tenue avec ces-derniers, ils resteront toujours ma référence et fait est que les fards Urban Decay ne sont pas à la hauteur.

Bref, la Naked Palette reste un bon produit, au concept fort bien étudié, et ce n’est pas pour rien qu’elle représente la palette la plus vendue en 2011. Je l’apprécie beaucoup pour partir en voyage, maquiller les collègues avent de sortir, pour se maquiller au bureau en vitesse quand on a loupé le réveil…

C’est avant tout une palette pratique, un très bon produit pour dépanner, et – il faut le dire – absolument parfait pour les débutantes car les fards sont faciles à appliquer et à blender.

Personnellement, je ne l’utiliserais surement pas tout les jours, mais c’est une excellente alternative de temps à autres, et  je la recommande vivement à celles qui n’ont pas le budget pour s’acheter une palette de neutres M.A.C.

Originalité	Tenue du produit
NOTE:	NOTE:
Texture et rendu	Facilité d’application
NOTE:	NOTE:
	Note finale: